Prenez soin de la mascotte virtuelle la plus kawaii d'Android
Vous avez connu l’engouement pour les Tamagotchi et vous aimeriez renouveler l’expérience ? Désormais, nous pouvons emmener partout avec nous une petite et adorable créature (qui est aussi très lourde) pour lui donner tout notre amour.
Plus de 100 pululus à collectioner
Pululu est un jeu casual kawaii qui nous propose de prendre soin d’une mascotte tendre et virtuelle depuis notre dispositif Android. Le système de commandes est très similaire au Tamagotchi original, mais plus moderne et adapté aux smartphones.
Assurez-vous qu’elle grandisse bien.
Pour commencer à élever un pululu, nous devrons d’abord ouvrir un œuf. Ci-dessous, nous pourrons désormais commencer à interagir via les boutons pour lui donner à manger, lui faire prendre un bain, jouer avec elle et lui prodiguer des soins. Nous devrons fournir les besoins à notre mascotte et nous assurer qu’ils soient couverts en permanence pour que la mascotte puisse évoluer en une créature de profit.
L’une des curiosités de ce jeu, réside dans le fait que l’écran ne s’ouvre pas entièrement pour devenir un écran complet, mais nous verrons le bureau de notre Android en fond. De plus, lorsque nous le fermons, la mascotte restera sur un côté de l’écran en mode d’accès direct (même si nous pouvons désactiver cette option depuis le menu des options).
Le titre si kawaii inclut trois mini-jeux sympathiques (2048, taupes et piano) et plusieurs accessoires avec lesquels nous pourrons décorer et personnaliser le lieu de notre mascotte. Il existe 101 pululus différents à collectionner, et donc nous pourrons nous amuser un bon moment si nous téléchargeons le fichier APK.
Conditions et information supplémentaire :
- Système d’exploitation minimum requis : Android 4.0.3.
- Achats in-app intégrés.
Je suis diplômée en droit et en journalisme, avec une spécialisation en criminologie et en journalisme culturel. Une de mes grandes passions ce sont les applications mobiles, en particulier les applications Android. Depuis plus de six ans, je...
Aurore Charpentier